Guide Visiter Marseille

Caroline Et Stéphane
Caroline Et Stéphane
Guide Visiter Marseille

Lieux touristiques

Le « bassin du vieux port » est aujourd'hui un port de plaisance, partagé entre les quartiers Hôtel-de-Ville (2e) au nord, Opéra (1er) au sud-est, Saint-Victor (7e) au sud et Le Pharo (7e) au sud-ouest. C'est aussi un lieu de rassemblement populaire et l'un des symboles de Marseille. Le Vieux-Port est aussi un pôle intermodal de transport (au quai des Belges qui le longe à l'est et auquel aboutit la Canebière), avec une station de métro, de nombreux bus et plusieurs services maritimes dont le ferry. Sur le Vieux-Port, existe aussi un petit marché où l'on peut retrouver, plusieurs fois par semaine, une vente directe de poisson frais. Il est de nos jours ancré dans la culture populaire comme servant de cadre principal à la Trilogie marseillaise de Marcel Pagnol, avec les figures de César et Marius au « bar de la Marine », et celle de Fanny, la belle poissonnière amoureuse de Marius.
707 recommandé par les habitants
Vieux-Port de Marseille
707 recommandé par les habitants
Le « bassin du vieux port » est aujourd'hui un port de plaisance, partagé entre les quartiers Hôtel-de-Ville (2e) au nord, Opéra (1er) au sud-est, Saint-Victor (7e) au sud et Le Pharo (7e) au sud-ouest. C'est aussi un lieu de rassemblement populaire et l'un des symboles de Marseille. Le Vieux-Port est aussi un pôle intermodal de transport (au quai des Belges qui le longe à l'est et auquel aboutit la Canebière), avec une station de métro, de nombreux bus et plusieurs services maritimes dont le ferry. Sur le Vieux-Port, existe aussi un petit marché où l'on peut retrouver, plusieurs fois par semaine, une vente directe de poisson frais. Il est de nos jours ancré dans la culture populaire comme servant de cadre principal à la Trilogie marseillaise de Marcel Pagnol, avec les figures de César et Marius au « bar de la Marine », et celle de Fanny, la belle poissonnière amoureuse de Marius.
Le Musée des civilisations de l'Europe et de la Méditerranée implanté sur l'esplanade du J4 a ouvert ses portes, le 7 juin 2013. Héritier du musée national des Arts et Traditions Populaires de Paris, le Mucem s'étend sur plus de 40 000m².
1835 recommandé par les habitants
Mucem
1 Esp. J4
1835 recommandé par les habitants
Le Musée des civilisations de l'Europe et de la Méditerranée implanté sur l'esplanade du J4 a ouvert ses portes, le 7 juin 2013. Héritier du musée national des Arts et Traditions Populaires de Paris, le Mucem s'étend sur plus de 40 000m².
Le quartier du Panier Plongez au cœur du plus vieux quartier de Marseille. Pour profiter de ce quartier mythique, le meilleur moyen est de flâner jusqu’à se perdre dans les ruelles étroites. La convivialité et la douce ambiance qui y règnent sont agréables. Entre petites terrasses de café, façades colorées de street-art, et petites boutiques de créateurs, vous ne saurez plus où donner de la tête : c’est un vrai musée à ciel ouvert ! S’il faut une bonne forme physique pour monter et descendre les escaliers, l’effort sera récompensé par la spontanéité méditerranéenne des habitants de ce quartier populaire, et la vue imprenable sur la grande Bleue. Quand il s’agit de visiter Marseille, le Panier est un incontournable. L’histoire du Panier Le plus vieux quartier de Marseille 600 ans avant Jésus-Christ, Massalia voyait le jour en lieu et place de l’actuel Panier. Si les grecs ont choisi ce lieu, c’est pour sa position privilégiée en hauteur et proche de la mer. Ils s’installèrent alors proche de la butte St Laurent, la ville grecque se développa ensuite en direction de la butte des Moulins. Sur la Place de Lenche, se trouvait l’Agora et sur la Butte des Moulins l’acropole dédiée à Athena. Au moyen-âge, la ville continue de se développer, mais cette fois de l’autre côté du Port. Au XIIème siècle un hôpital sera fondé par la confrérie du Saint-Esprit et deviendra un peu plus tard, l’Hôtel-Dieu. En 1745 sera achevé la construction d’un grand hospice, la Vieille-Charité. Au 19e siècle et début 20eme le quartier du Panier était un quartier plutôt insalubre et connu pour sa prostitution et sa mauvaise réputation. En 1943, pendant la seconde guerre mondiale, les Allemands décidèrent de raser le quartier qui constituait un refuge pour les résistants, plus de 30 000 personnes furent expulsées et des milliers arrêtées. 1500 immeubles furent détruits entre le 22 et 24 janvier 1943. Le Panier a longtemps gardé sa mauvaise réputation. Fin 20eme début 21eme siècle le Panier a fait l’Objet d’une rénovation et d’un réaménagement urbain. Il est aujourd’hui totalement rénové et accueille des ateliers d’artistes, des boutiques, des créateurs … Il est devenu l’un des quartiers incontournables à Marseille ! Un musée à ciel ouvert Dans le quartier du Panier, chaque coin de rue est un musée en soi. Les murs sont couverts d’œuvres de Street art plus délirantes les unes que les autres. Certaines fresques invitent à la contemplation alors que d’autres vous feront sourire. Le Panier est un musée à ciel ouvert : ses ruelles étroites, ses lieux culturels, ses artisans et créateurs… les trois collines du Panier n’ont de cesse de nous surprendre. Laissez-vous emporter par la magie populaire de cet incontournable quartier de la ville de Marseille. Les lieux culturels au cœur de la vieille ville Si la Vieille ville de Marseille est colorée grâce à ses ruelles surprenantes, ses lieux culturels la rendent encore plus époustouflante ! La Maison Diamantée Édifiée par de riches commanditaires d’origine espagnole et italienne, la Maison Diamantée sera habitée par de grandes familles marseillaises. La Maison Diamantée est exceptionnelle par le décor de bossage en pointe de diamants de sa façade et les décorations de son escalier à caissons. Classée Monument Historique en 1925, elle est sauvée des destructions de 1943. Le Pavillon Daviel Il a été édifié au milieu du 18e siècle par les frères Gérard, architectes marseillais, sur l’emplacement d’une ancienne Maison de Justice du 16e siècle. Pendant la révolution la guillotine était dressée sur son parvis. Le bâtiment est construit en pierre rose des carrières de la Couronne. Le bâtiment est actuellement occupé par les services de la mairie. L’Hôtel de Cabre Cet hôtel particulier construit en 1535 sur la commande de Louis Cabre, négociant et consul, est l’une des maisons les plus anciennes de Marseille. Lors de la destruction des vieux quartiers en 1943, elle a été épargnée, mais pour des raisons d’urbanisme, elle a été déplacée d’un seul bloc sur vérins et tournée à 90° pour être dans l’alignement des rues actuelles. Les façades sont classées au titre des Monuments Historiques depuis 1941. La Vieille Charité Ce lieu emblématique de Marseille est niché au cœur du Panier ! C’est une véritable invitation à la détente et à la culture, avec les nombreuses expositions permanentes et temporaires qui y ont lieu toute l’année L’Hôtel Dieu L’hôpital du Saint-Esprit, créé au 12e siècle, a été agrandi au cours des siècles et regroupé avec l’hôpital Saint-Jacques de Galice au 16e siècle. Il devint Hôtel Dieu un siècle plus tard. Sa reconstruction fut alors entreprise par un neveu du célèbre architecte Hardouin-Mansart, son vaste projet ne fut que partiellement réalisé et ce fut sous le Second Empire que l’Hôtel Dieu adopta sa physionomie actuelle. Les escaliers sont l’œuvre de Joseph-Esprit Brun. Le buste en bronze représentant Jacques Daviel, rappelle qu’il a réalisé pour la première fois en 1745, à l’Hôtel Dieu, l’opération de la cataracte par extraction du cristallin. Il fut ainsi nommé oculiste du roi Louis XV. Il est devenu depuis 2013 un hôtel 5 étoiles. L’Eglise des Accoules Depuis le 11e siècle s’élève ici une petite église paroissiale dédiée à Notre-Dame des Accoules. L’église a été reconstruite au 13e siècle ainsi que le clocher de la Tour Sauveterre qui sonnait le tocsin et convoquait le Conseil de Ville. L’ensemble a été partiellement rasé en 1794 et l’église a été rebâtie sur plan centré peu avant la Monarchie de Juillet. La Place de Lenche La place de Lenche est située sur l’ancienne agora grecque depuis laquelle les citoyens pouvaient surveiller les activités du port. A l’origine la place était fermée des quatre côtés et c’est au sud qu’au 5e siècle Saint-Cassien fonda le couvent des religieuses de Saint-Sauveur faisant ainsi face au monastère de Saint-Victor sur l’autre rive du port. Sous la place se trouvent les caves Saint-Sauveur qui seraient en fait les citernes de la ville grecque au 3e siècle avant J.C. Classées “Monument Historique” en 1840, elles sont considérées comme un monument antique intact mais demeurent inaccessibles. Le nom de Lenche vient d’une famille Corse, Lincio, qui au 16e siècle a marqué fortement la place en y installant un atelier de corail, des magasins et en se faisant construire un somptueux hôtel particulier. La partie Sud de la place a été démolie selon les plans des autorités allemandes durant l’hiver 1943 et des immeubles ont été reconstruits en contrebas dans les années 1950. La Place des Moulins Point culminant de ce quartier atypique, cette place doit son nom à la présence d’une quinzaine moulins à vent au 17e siècle. Aujourd’hui subsistent des vestiges de trois d’entre eux qui ne sont malheureusement pas visibles puisqu’ils sont englobés dans des maisons. En 1850 fut construite la citerne des Moulins qui se trouve sous la place, à 35 mètres au-dessus du niveau de la mer. Le bassin comportant 160 piliers en pierre de Cassis a une capacité de 12000 m³. L’architecture rappelle la Citerne Basilique d’Istanbul.
Panier
1 Rue Lorette
Le quartier du Panier Plongez au cœur du plus vieux quartier de Marseille. Pour profiter de ce quartier mythique, le meilleur moyen est de flâner jusqu’à se perdre dans les ruelles étroites. La convivialité et la douce ambiance qui y règnent sont agréables. Entre petites terrasses de café, façades colorées de street-art, et petites boutiques de créateurs, vous ne saurez plus où donner de la tête : c’est un vrai musée à ciel ouvert ! S’il faut une bonne forme physique pour monter et descendre les escaliers, l’effort sera récompensé par la spontanéité méditerranéenne des habitants de ce quartier populaire, et la vue imprenable sur la grande Bleue. Quand il s’agit de visiter Marseille, le Panier est un incontournable. L’histoire du Panier Le plus vieux quartier de Marseille 600 ans avant Jésus-Christ, Massalia voyait le jour en lieu et place de l’actuel Panier. Si les grecs ont choisi ce lieu, c’est pour sa position privilégiée en hauteur et proche de la mer. Ils s’installèrent alors proche de la butte St Laurent, la ville grecque se développa ensuite en direction de la butte des Moulins. Sur la Place de Lenche, se trouvait l’Agora et sur la Butte des Moulins l’acropole dédiée à Athena. Au moyen-âge, la ville continue de se développer, mais cette fois de l’autre côté du Port. Au XIIème siècle un hôpital sera fondé par la confrérie du Saint-Esprit et deviendra un peu plus tard, l’Hôtel-Dieu. En 1745 sera achevé la construction d’un grand hospice, la Vieille-Charité. Au 19e siècle et début 20eme le quartier du Panier était un quartier plutôt insalubre et connu pour sa prostitution et sa mauvaise réputation. En 1943, pendant la seconde guerre mondiale, les Allemands décidèrent de raser le quartier qui constituait un refuge pour les résistants, plus de 30 000 personnes furent expulsées et des milliers arrêtées. 1500 immeubles furent détruits entre le 22 et 24 janvier 1943. Le Panier a longtemps gardé sa mauvaise réputation. Fin 20eme début 21eme siècle le Panier a fait l’Objet d’une rénovation et d’un réaménagement urbain. Il est aujourd’hui totalement rénové et accueille des ateliers d’artistes, des boutiques, des créateurs … Il est devenu l’un des quartiers incontournables à Marseille ! Un musée à ciel ouvert Dans le quartier du Panier, chaque coin de rue est un musée en soi. Les murs sont couverts d’œuvres de Street art plus délirantes les unes que les autres. Certaines fresques invitent à la contemplation alors que d’autres vous feront sourire. Le Panier est un musée à ciel ouvert : ses ruelles étroites, ses lieux culturels, ses artisans et créateurs… les trois collines du Panier n’ont de cesse de nous surprendre. Laissez-vous emporter par la magie populaire de cet incontournable quartier de la ville de Marseille. Les lieux culturels au cœur de la vieille ville Si la Vieille ville de Marseille est colorée grâce à ses ruelles surprenantes, ses lieux culturels la rendent encore plus époustouflante ! La Maison Diamantée Édifiée par de riches commanditaires d’origine espagnole et italienne, la Maison Diamantée sera habitée par de grandes familles marseillaises. La Maison Diamantée est exceptionnelle par le décor de bossage en pointe de diamants de sa façade et les décorations de son escalier à caissons. Classée Monument Historique en 1925, elle est sauvée des destructions de 1943. Le Pavillon Daviel Il a été édifié au milieu du 18e siècle par les frères Gérard, architectes marseillais, sur l’emplacement d’une ancienne Maison de Justice du 16e siècle. Pendant la révolution la guillotine était dressée sur son parvis. Le bâtiment est construit en pierre rose des carrières de la Couronne. Le bâtiment est actuellement occupé par les services de la mairie. L’Hôtel de Cabre Cet hôtel particulier construit en 1535 sur la commande de Louis Cabre, négociant et consul, est l’une des maisons les plus anciennes de Marseille. Lors de la destruction des vieux quartiers en 1943, elle a été épargnée, mais pour des raisons d’urbanisme, elle a été déplacée d’un seul bloc sur vérins et tournée à 90° pour être dans l’alignement des rues actuelles. Les façades sont classées au titre des Monuments Historiques depuis 1941. La Vieille Charité Ce lieu emblématique de Marseille est niché au cœur du Panier ! C’est une véritable invitation à la détente et à la culture, avec les nombreuses expositions permanentes et temporaires qui y ont lieu toute l’année L’Hôtel Dieu L’hôpital du Saint-Esprit, créé au 12e siècle, a été agrandi au cours des siècles et regroupé avec l’hôpital Saint-Jacques de Galice au 16e siècle. Il devint Hôtel Dieu un siècle plus tard. Sa reconstruction fut alors entreprise par un neveu du célèbre architecte Hardouin-Mansart, son vaste projet ne fut que partiellement réalisé et ce fut sous le Second Empire que l’Hôtel Dieu adopta sa physionomie actuelle. Les escaliers sont l’œuvre de Joseph-Esprit Brun. Le buste en bronze représentant Jacques Daviel, rappelle qu’il a réalisé pour la première fois en 1745, à l’Hôtel Dieu, l’opération de la cataracte par extraction du cristallin. Il fut ainsi nommé oculiste du roi Louis XV. Il est devenu depuis 2013 un hôtel 5 étoiles. L’Eglise des Accoules Depuis le 11e siècle s’élève ici une petite église paroissiale dédiée à Notre-Dame des Accoules. L’église a été reconstruite au 13e siècle ainsi que le clocher de la Tour Sauveterre qui sonnait le tocsin et convoquait le Conseil de Ville. L’ensemble a été partiellement rasé en 1794 et l’église a été rebâtie sur plan centré peu avant la Monarchie de Juillet. La Place de Lenche La place de Lenche est située sur l’ancienne agora grecque depuis laquelle les citoyens pouvaient surveiller les activités du port. A l’origine la place était fermée des quatre côtés et c’est au sud qu’au 5e siècle Saint-Cassien fonda le couvent des religieuses de Saint-Sauveur faisant ainsi face au monastère de Saint-Victor sur l’autre rive du port. Sous la place se trouvent les caves Saint-Sauveur qui seraient en fait les citernes de la ville grecque au 3e siècle avant J.C. Classées “Monument Historique” en 1840, elles sont considérées comme un monument antique intact mais demeurent inaccessibles. Le nom de Lenche vient d’une famille Corse, Lincio, qui au 16e siècle a marqué fortement la place en y installant un atelier de corail, des magasins et en se faisant construire un somptueux hôtel particulier. La partie Sud de la place a été démolie selon les plans des autorités allemandes durant l’hiver 1943 et des immeubles ont été reconstruits en contrebas dans les années 1950. La Place des Moulins Point culminant de ce quartier atypique, cette place doit son nom à la présence d’une quinzaine moulins à vent au 17e siècle. Aujourd’hui subsistent des vestiges de trois d’entre eux qui ne sont malheureusement pas visibles puisqu’ils sont englobés dans des maisons. En 1850 fut construite la citerne des Moulins qui se trouve sous la place, à 35 mètres au-dessus du niveau de la mer. Le bassin comportant 160 piliers en pierre de Cassis a une capacité de 12000 m³. L’architecture rappelle la Citerne Basilique d’Istanbul.
Ce marché alimentaire fondé en 1956, le moins cher du centre-ville, est le reflet du métissage qui a construit Marseille. 6 jours sur 7, c’est un voyage autour des senteurs (souvent agréables, parfois qui piquent) et des couleurs et de produits du monde entier. Il est installé sur l’emplacement de l’ancien couvent des religieux de l’ordre mendiant des Capucins, construit ici même en 1579 sur des terrains achetés par Catherine de Médicis. Le marché a bénéficié d’une rénovation totale de sa place et des stands de janvier à juin 2018. La reine-mère vient en personne à Marseille le 15 juin pour poser la première pierre du couvent des Capucins mais par manque de moyens financiers la construction des bâtiments prendra beaucoup de temps. L’église est consacrée en 1616. Trop petite, une autre la remplace en 1694. Les Capucins vont former la plus nombreuse communauté religieuse d’hommes de Marseille. À la fin du XVIIIe siècle, leur monastère qui comprenait une fabrique de draps, une pharmacie, un jardin botanique, une collection d’histoire naturelle et un cabinet des médailles, s’étendait jusqu’aux actuelles rue du Musée et de l’Académie avec entrée à l’angle de la rue Longue-des-Capucins. En 1791, le couvent est déclaré bien national, les religieux sont expulsés, les bâtisses et terrains allotis et vendus. De leur présence, il ne reste que les noms du marché des Capucins et de la rue Longue des Capucins. Sous les yeux de la Statue de la Paix (rénovée en 2018) et face à la Gare de l’Est, on déniche sur ce marché d’environ 20 exposants des fruits et des légumes de Provence et d’ailleurs à des prix imbattables mais à consommer rapidement. La Rue Longue des Capucins abrite des magasins en dur, composés d’épiciers, de poissonniers, de bouchers, de boulangers et les mythiques Pizzas au feu de bois du quartier…On y trouve aussi des épices et des herbes fraîches, du galanga, des brèdes mafana fraiches, des cookies fortune, de la papaye verte, de la pâte de piment, de pistache, du halva turque et toutes sortes de gâteaux et autres boissons à prix discount, des invendus de la grande distribution ou des petits commerces. On y rencontre également les célèbres vendeurs à la sauvette tentant de vous refourguer des cigarettes et se signalant par la phrase “Marlboro…cigarettes…Marlboro”. Une brigade spécialisée de la police avait été lancée en janvier 2015 afin de les neutraliser…mais force est de constater qu’ils sont toujours bien ancrées dans le quartier. Certains soirs des dizaines de marchands à la sauvette viennent tenter de vendre toute sorte d’objets aux provenances inconnues. Le marché a bénéficié d’une rénovation totale de sa place et des stands de janvier à juin 2018. Pendant cette période il a été déplacé sur le haut de la Place Léon Blum près du Monument des Mobiles.
Rue du Marché des Capucins
Rue du Marché des Capucins
Ce marché alimentaire fondé en 1956, le moins cher du centre-ville, est le reflet du métissage qui a construit Marseille. 6 jours sur 7, c’est un voyage autour des senteurs (souvent agréables, parfois qui piquent) et des couleurs et de produits du monde entier. Il est installé sur l’emplacement de l’ancien couvent des religieux de l’ordre mendiant des Capucins, construit ici même en 1579 sur des terrains achetés par Catherine de Médicis. Le marché a bénéficié d’une rénovation totale de sa place et des stands de janvier à juin 2018. La reine-mère vient en personne à Marseille le 15 juin pour poser la première pierre du couvent des Capucins mais par manque de moyens financiers la construction des bâtiments prendra beaucoup de temps. L’église est consacrée en 1616. Trop petite, une autre la remplace en 1694. Les Capucins vont former la plus nombreuse communauté religieuse d’hommes de Marseille. À la fin du XVIIIe siècle, leur monastère qui comprenait une fabrique de draps, une pharmacie, un jardin botanique, une collection d’histoire naturelle et un cabinet des médailles, s’étendait jusqu’aux actuelles rue du Musée et de l’Académie avec entrée à l’angle de la rue Longue-des-Capucins. En 1791, le couvent est déclaré bien national, les religieux sont expulsés, les bâtisses et terrains allotis et vendus. De leur présence, il ne reste que les noms du marché des Capucins et de la rue Longue des Capucins. Sous les yeux de la Statue de la Paix (rénovée en 2018) et face à la Gare de l’Est, on déniche sur ce marché d’environ 20 exposants des fruits et des légumes de Provence et d’ailleurs à des prix imbattables mais à consommer rapidement. La Rue Longue des Capucins abrite des magasins en dur, composés d’épiciers, de poissonniers, de bouchers, de boulangers et les mythiques Pizzas au feu de bois du quartier…On y trouve aussi des épices et des herbes fraîches, du galanga, des brèdes mafana fraiches, des cookies fortune, de la papaye verte, de la pâte de piment, de pistache, du halva turque et toutes sortes de gâteaux et autres boissons à prix discount, des invendus de la grande distribution ou des petits commerces. On y rencontre également les célèbres vendeurs à la sauvette tentant de vous refourguer des cigarettes et se signalant par la phrase “Marlboro…cigarettes…Marlboro”. Une brigade spécialisée de la police avait été lancée en janvier 2015 afin de les neutraliser…mais force est de constater qu’ils sont toujours bien ancrées dans le quartier. Certains soirs des dizaines de marchands à la sauvette viennent tenter de vendre toute sorte d’objets aux provenances inconnues. Le marché a bénéficié d’une rénovation totale de sa place et des stands de janvier à juin 2018. Pendant cette période il a été déplacé sur le haut de la Place Léon Blum près du Monument des Mobiles.
Un stade qui a su conquérir le cœur des marseillais Inauguré en 1937 lors d’une journée de gala, il n’a pas été tout de suite adopté par les supporters olympiens. Un bon nombre d’entre eux regrettaient le Stade de l’Huveaune, considéré comme le véritable terrain de l’Olympique de Marseille. Le Vélodrome, lui, était vu comme le « stade de la mairie ». Avec la seconde guerre et les réquisitions allemandes, l’OM va rejouer en grande partie au Stade de l’Huveaune, et va même quitter pendant un temps le Vélodrome en 1965 à la suite d’un désaccord entre la direction de l’OM et la mairie. Côté architecture, le stade possédait à l’origine une immense piste cyclable entourant la pelouse, et qui accueillait de nombreuses compétitions cyclistes : c’est d’ailleurs de là que vient son nom, le Vélodrome. Malgré sa suppression en 1985, le stade va conserver son nom initial. En vue de la Coupe du Monde 98, le Vél’ va se transformer : sa capacité d’accueil passe à 60 000 places, laissant place à un stade plus moderne à ciel ouvert. Mais c’est à partir de 2014 qu'il va véritablement rentrer dans une nouvelle dimension : pour l’Euro 2016, des travaux d’envergure sont lancés et le stade va se métamorphoser. Il devient l’Orange Vélodrome : il peut désormais accueillir 67 000 spectateurs et sa gigantesque toiture blanche lui donne des allures de volcan en ébullition les soirs de match. Aujourd’hui, le Vél’ est LE stade incontournable pour les passionnés de foot et il est considéré comme l’un des stades les plus chauds en termes d’ambiance dans toute l’Europe. Il a su s’imposer dans le cœur des marseillais et est aujourd’hui l’un des symboles incontournables de la ville. Temple sacré de l’Olympique de Marseille, club au palmarès unique en France Terrain de jeu de l’équipe marseillaise, le Stade Vélodrome abrite aujourd’hui quelques-uns des nombreux trophées remportés par le club depuis sa naissance en 1899. Considéré comme l’un des meilleurs clubs français, l’OM possède un palmarès d’exception qui fait la plus grande fierté de ses supporters. Avec 10 Coupes de France, 11 championnats et 3 Coupes de la Ligue, l’Olympique de Marseille demeure l’un des clubs les plus titrés de l’Hexagone. Mais ce qui en fait un club exceptionnel, c’est sa Ligue des Champions remportée le 26 mai 1993, date inoubliable pour tous les fervents supporters. Jusqu’aujourd’hui, c’est le seul club français à l’avoir remportée. L’OM est le seul à s’être distingué par ses performances lors d’une compétition européenne, et le club est d’ailleurs surnommé « la seule étoile de France », dont l’étoile brille au-dessus du logo. Lors du Stadium Tour, vous aurez la chance de découvrir certains de ces trophées, témoins des plus grands succès de l’OM, tels que la fameuse Ligue des Champions ou encore l’Hexagoal (trophée du championnat de Ligue 1) remporté en 2010. La plus belle ambiance de France Sans eux, le Stade sonnerait bien vide : on parle évidemment des supporters. Ils donnent de la voix et mettent l’ambiance lors de chaque confrontation pour pousser leur équipe vers la victoire, et sont réputés au-delà des frontières pour leur ferveur. Dévoués et passionnés, ils ont su s’organiser en groupes pour encourager leur club partout en France et en Europe. C’est d’ailleurs au Vélodrome que nait le premier groupe de supporters Ultra en France : en 1984, les supporters les plus actifs situés au Virage Nord vont se regrouper et former le Commando Ultras ’84 (CU’84). Drapeaux, tambours, chants et bâches : c’est le début de ce qui va devenir la meilleure ambiance de France. Très vite, d’autres groupes vont se créer : les South Winners voient le jour en 1987, et se distinguent par leurs tenues orange en Virage Sud, qu’ils ont adopté lors d’un déplacement au Parc des Princes en portant le bombers retourné, coté orange. L’année suivante, les Fanatics s’installent au Virage Nord et sont rejoint par les Dodger’s en 1992. Deux ans après, un supporter, Patrice de Peretti – dit Depé – crée les MTP (Marseille Trop Puissant). Assistant à toutes les rencontres de l’OM torse nu, été comme hiver, Depé va rapidement se démarquer et devenir une figure du supportérisme marseillais. Aujourd’hui, le Virage Nord porte son nom en hommage à son dévouement pour le club. A travers les années, les supporters phocéens ont imposé leur style unique et le Vélodrome est considéré comme l’une des meilleures ambiances d’Europe. A travers des chants mythiques tels que « Aux armes », ils font vibrer le Stade pour transcender les joueurs et les mener vers la victoire. Un match de l’OM dans cette ambiance folle, c’est à vivre au moins une fois dans sa vie ! Jump ! Hymne mythique à la motivation Aucun marseillais ne reste insensible face à ces premières notes reconnaissables parmi tant d’autres… A chaque début de match, c’est la même mélodie qui fait vibrer l’enceinte du Boulevard Michelet : Jump ! Ce morceau de Van Halen accompagne les joueurs olympiens sur la pelouse depuis plus de 35 ans maintenant… mais d’où ça vient ? En 1986, lors de son arrivée à la tête du club, le président Bernard Tapie veut rajouter un aspect spectaculaire aux matchs de son équipe. Ecrans géants, feu d’artifice et show de son et lumière : il veut faire du stade un lieu de fête. En tête des écoutes à ce moment-là, c’est le morceau Jump du groupe américain Van Halen qui va être choisi par la direction comme musique d’entrée des joueurs. Pendant 3 matchs, certains ont voulu essayer de changer de musique, mais l’OM n’a jamais gagné. Alors, on a considéré ça comme un signe et Jump n’a plus jamais quitté le Vélodrome. Hymne à la motivation aux paroles entrainantes, Jump a très rapidement su conquérir le cœur des supporters et des joueurs. Aujourd’hui, lorsqu’on entend ce morceau, on pense tout de suite à l’OM. Ce qui est sûr, c’est que cette mélodie continuera de résonner encore longtemps dans l’Orange Vélodrome et fera la fierté de ses supporters… Lors de l’OM Tour, vous pourrez vivre une expérience plus vraie que nature avec une entrée sur la pelouse sur la célèbre mélodie. Glissez-vous dans la peau d’un joueur le temps d’un instant ! L’OM…mais pas que ! Certes, le Vélodrome est le stade résident de l’Olympique de Marseille. Mais attention, son rôle ne s’arrête pas à accueillir des matchs de football. D’ailleurs, aucun autre stade au monde n’a abrité autant d’évènements différents, jusqu’aux plus insolites ! A l’origine, le stade possédait une piste cyclable ainsi qu’un circuit d’athlétisme. Ces infrastructures ont permis d’accueillir de nombreuses activités : sprints, gymnastique, courses de moto, concours de boule ou encore course de lévrier ! Sur la pelouse : rugby, baseball, patinage et même essais de ballon dirigeable…le Vélodrome en a vu de toutes les couleurs. Aujourd’hui, le stade héberge en grande partie les matchs de football de l’OM, mais accueille également des matchs de rugby du RCT. Outre sa vocation sportive, l’enceinte se transforme aussi en salle de concerts : Céline Dion, les Rolling Stones ou encore Soprano ont enflammé les allées du Vél’ ces dernières années.
315 recommandé par les habitants
Marseille Stadium
3 Bd Michelet
315 recommandé par les habitants
Un stade qui a su conquérir le cœur des marseillais Inauguré en 1937 lors d’une journée de gala, il n’a pas été tout de suite adopté par les supporters olympiens. Un bon nombre d’entre eux regrettaient le Stade de l’Huveaune, considéré comme le véritable terrain de l’Olympique de Marseille. Le Vélodrome, lui, était vu comme le « stade de la mairie ». Avec la seconde guerre et les réquisitions allemandes, l’OM va rejouer en grande partie au Stade de l’Huveaune, et va même quitter pendant un temps le Vélodrome en 1965 à la suite d’un désaccord entre la direction de l’OM et la mairie. Côté architecture, le stade possédait à l’origine une immense piste cyclable entourant la pelouse, et qui accueillait de nombreuses compétitions cyclistes : c’est d’ailleurs de là que vient son nom, le Vélodrome. Malgré sa suppression en 1985, le stade va conserver son nom initial. En vue de la Coupe du Monde 98, le Vél’ va se transformer : sa capacité d’accueil passe à 60 000 places, laissant place à un stade plus moderne à ciel ouvert. Mais c’est à partir de 2014 qu'il va véritablement rentrer dans une nouvelle dimension : pour l’Euro 2016, des travaux d’envergure sont lancés et le stade va se métamorphoser. Il devient l’Orange Vélodrome : il peut désormais accueillir 67 000 spectateurs et sa gigantesque toiture blanche lui donne des allures de volcan en ébullition les soirs de match. Aujourd’hui, le Vél’ est LE stade incontournable pour les passionnés de foot et il est considéré comme l’un des stades les plus chauds en termes d’ambiance dans toute l’Europe. Il a su s’imposer dans le cœur des marseillais et est aujourd’hui l’un des symboles incontournables de la ville. Temple sacré de l’Olympique de Marseille, club au palmarès unique en France Terrain de jeu de l’équipe marseillaise, le Stade Vélodrome abrite aujourd’hui quelques-uns des nombreux trophées remportés par le club depuis sa naissance en 1899. Considéré comme l’un des meilleurs clubs français, l’OM possède un palmarès d’exception qui fait la plus grande fierté de ses supporters. Avec 10 Coupes de France, 11 championnats et 3 Coupes de la Ligue, l’Olympique de Marseille demeure l’un des clubs les plus titrés de l’Hexagone. Mais ce qui en fait un club exceptionnel, c’est sa Ligue des Champions remportée le 26 mai 1993, date inoubliable pour tous les fervents supporters. Jusqu’aujourd’hui, c’est le seul club français à l’avoir remportée. L’OM est le seul à s’être distingué par ses performances lors d’une compétition européenne, et le club est d’ailleurs surnommé « la seule étoile de France », dont l’étoile brille au-dessus du logo. Lors du Stadium Tour, vous aurez la chance de découvrir certains de ces trophées, témoins des plus grands succès de l’OM, tels que la fameuse Ligue des Champions ou encore l’Hexagoal (trophée du championnat de Ligue 1) remporté en 2010. La plus belle ambiance de France Sans eux, le Stade sonnerait bien vide : on parle évidemment des supporters. Ils donnent de la voix et mettent l’ambiance lors de chaque confrontation pour pousser leur équipe vers la victoire, et sont réputés au-delà des frontières pour leur ferveur. Dévoués et passionnés, ils ont su s’organiser en groupes pour encourager leur club partout en France et en Europe. C’est d’ailleurs au Vélodrome que nait le premier groupe de supporters Ultra en France : en 1984, les supporters les plus actifs situés au Virage Nord vont se regrouper et former le Commando Ultras ’84 (CU’84). Drapeaux, tambours, chants et bâches : c’est le début de ce qui va devenir la meilleure ambiance de France. Très vite, d’autres groupes vont se créer : les South Winners voient le jour en 1987, et se distinguent par leurs tenues orange en Virage Sud, qu’ils ont adopté lors d’un déplacement au Parc des Princes en portant le bombers retourné, coté orange. L’année suivante, les Fanatics s’installent au Virage Nord et sont rejoint par les Dodger’s en 1992. Deux ans après, un supporter, Patrice de Peretti – dit Depé – crée les MTP (Marseille Trop Puissant). Assistant à toutes les rencontres de l’OM torse nu, été comme hiver, Depé va rapidement se démarquer et devenir une figure du supportérisme marseillais. Aujourd’hui, le Virage Nord porte son nom en hommage à son dévouement pour le club. A travers les années, les supporters phocéens ont imposé leur style unique et le Vélodrome est considéré comme l’une des meilleures ambiances d’Europe. A travers des chants mythiques tels que « Aux armes », ils font vibrer le Stade pour transcender les joueurs et les mener vers la victoire. Un match de l’OM dans cette ambiance folle, c’est à vivre au moins une fois dans sa vie ! Jump ! Hymne mythique à la motivation Aucun marseillais ne reste insensible face à ces premières notes reconnaissables parmi tant d’autres… A chaque début de match, c’est la même mélodie qui fait vibrer l’enceinte du Boulevard Michelet : Jump ! Ce morceau de Van Halen accompagne les joueurs olympiens sur la pelouse depuis plus de 35 ans maintenant… mais d’où ça vient ? En 1986, lors de son arrivée à la tête du club, le président Bernard Tapie veut rajouter un aspect spectaculaire aux matchs de son équipe. Ecrans géants, feu d’artifice et show de son et lumière : il veut faire du stade un lieu de fête. En tête des écoutes à ce moment-là, c’est le morceau Jump du groupe américain Van Halen qui va être choisi par la direction comme musique d’entrée des joueurs. Pendant 3 matchs, certains ont voulu essayer de changer de musique, mais l’OM n’a jamais gagné. Alors, on a considéré ça comme un signe et Jump n’a plus jamais quitté le Vélodrome. Hymne à la motivation aux paroles entrainantes, Jump a très rapidement su conquérir le cœur des supporters et des joueurs. Aujourd’hui, lorsqu’on entend ce morceau, on pense tout de suite à l’OM. Ce qui est sûr, c’est que cette mélodie continuera de résonner encore longtemps dans l’Orange Vélodrome et fera la fierté de ses supporters… Lors de l’OM Tour, vous pourrez vivre une expérience plus vraie que nature avec une entrée sur la pelouse sur la célèbre mélodie. Glissez-vous dans la peau d’un joueur le temps d’un instant ! L’OM…mais pas que ! Certes, le Vélodrome est le stade résident de l’Olympique de Marseille. Mais attention, son rôle ne s’arrête pas à accueillir des matchs de football. D’ailleurs, aucun autre stade au monde n’a abrité autant d’évènements différents, jusqu’aux plus insolites ! A l’origine, le stade possédait une piste cyclable ainsi qu’un circuit d’athlétisme. Ces infrastructures ont permis d’accueillir de nombreuses activités : sprints, gymnastique, courses de moto, concours de boule ou encore course de lévrier ! Sur la pelouse : rugby, baseball, patinage et même essais de ballon dirigeable…le Vélodrome en a vu de toutes les couleurs. Aujourd’hui, le stade héberge en grande partie les matchs de football de l’OM, mais accueille également des matchs de rugby du RCT. Outre sa vocation sportive, l’enceinte se transforme aussi en salle de concerts : Céline Dion, les Rolling Stones ou encore Soprano ont enflammé les allées du Vél’ ces dernières années.
La plage des Catalans est une plage de sable, la plus proche du Vieux Port, en contrebas du club sportif Le Cercle des Nageurs. Elle est équipée d'un poste de secours, douches, sanitaires, poubelles, d'une buvette. Le terrain de volley accueille des compétitions de haut niveau, et les entraînements du club de beach volley des Catalans. C'est le lieu d'accueil aussi du musée sous-marin. L'équipe de surveillance est en place en juillet et en août. Afin de permettre aux baigneurs de profiter du site dans les meilleures conditions d'hygiène et de confort, la plage a été reprofilée et tamisée à 30 cm de profondeur. Elle fait désormais l'objet d'un nettoyage quotidien. De même, un module sanitaire a été installé. Les douches sont opérationnelles tous les jours, tandis que les sanitaires sont ouverts. Depuis le Vieux Port, bus 83.
266 recommandé par les habitants
Plage des Catalans
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La plage des Catalans est une plage de sable, la plus proche du Vieux Port, en contrebas du club sportif Le Cercle des Nageurs. Elle est équipée d'un poste de secours, douches, sanitaires, poubelles, d'une buvette. Le terrain de volley accueille des compétitions de haut niveau, et les entraînements du club de beach volley des Catalans. C'est le lieu d'accueil aussi du musée sous-marin. L'équipe de surveillance est en place en juillet et en août. Afin de permettre aux baigneurs de profiter du site dans les meilleures conditions d'hygiène et de confort, la plage a été reprofilée et tamisée à 30 cm de profondeur. Elle fait désormais l'objet d'un nettoyage quotidien. De même, un module sanitaire a été installé. Les douches sont opérationnelles tous les jours, tandis que les sanitaires sont ouverts. Depuis le Vieux Port, bus 83.
LE VALLON DES AUFFES : UN PORT AU CHARME AUTHENTIQUE À deux pas de la Plage des Catalans, pile en face de la statue aux héros de l’armée d’Orient, se niche un petit village provençal de pêcheurs. Coincé entre deux falaises, résolument tourné vers la mer, le Vallon des Auffes offre l’image d’un temps qui se serait arrêté au temps de Marcel Pagnol. C’est d’ailleurs l’un des lieux emblématiques de Marseille. Site unique, authentique, pittoresque, les adjectifs ne manquent pas ce petit havre de paix à la fois si proche et si lointain de l’agitation du centre-ville. C’est là que vous trouverez l’un des plus beaux cadres pour manger au restaurant à Marseille. Profondément lié à la mer et aux métiers de la pêche, jusqu’à son nom, le Vallon des Auffes vient de l’alfa (auffo en provençal) qui est un granulé servant à faire des cordages. Au XIXème siècle, les fabricants de cordage s’y étaient établis. Avec ses cabanons de pêcheurs très colorés et ses pointus (bateaux de pêche typiques marseillais), et ses restaurants aussi traditionnels que réputés, le Vallon des Auffes symbolise la « Dolce Vita » à la marseillaise. On y accède par des escaliers étroits qui s’engouffrent au cœur de l’anse. Le petit port est bercé par le double va et vient des touristes en vacances à Marseille et des pêcheurs. Les terrasses sont pleines et mieux vaut venir le matin pour en apprécier la tranquillité (surtout en été). Au bout du quai, après être passé sous le viaduc, on se baigne (en faisant toutefois attention aux bateaux, cela reste un port). Pour se baigner à Marseille, mieux vaut aller de l’autre côté du viaduc sur les digues où se pressent nombres de jeunes et de moins jeunes. Si vous avez prévu de visiter Marseille, le Vallon des Auffes fait partie des incontournables et est donc une escale obligée lors d’une promenade sur la Corniche. Juste après se trouve Endoume avec ses anses de Malmousque, de la Fausse monnaie, qu’il faut absolument voir à Marseille.
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Vallon des Auffes station
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LE VALLON DES AUFFES : UN PORT AU CHARME AUTHENTIQUE À deux pas de la Plage des Catalans, pile en face de la statue aux héros de l’armée d’Orient, se niche un petit village provençal de pêcheurs. Coincé entre deux falaises, résolument tourné vers la mer, le Vallon des Auffes offre l’image d’un temps qui se serait arrêté au temps de Marcel Pagnol. C’est d’ailleurs l’un des lieux emblématiques de Marseille. Site unique, authentique, pittoresque, les adjectifs ne manquent pas ce petit havre de paix à la fois si proche et si lointain de l’agitation du centre-ville. C’est là que vous trouverez l’un des plus beaux cadres pour manger au restaurant à Marseille. Profondément lié à la mer et aux métiers de la pêche, jusqu’à son nom, le Vallon des Auffes vient de l’alfa (auffo en provençal) qui est un granulé servant à faire des cordages. Au XIXème siècle, les fabricants de cordage s’y étaient établis. Avec ses cabanons de pêcheurs très colorés et ses pointus (bateaux de pêche typiques marseillais), et ses restaurants aussi traditionnels que réputés, le Vallon des Auffes symbolise la « Dolce Vita » à la marseillaise. On y accède par des escaliers étroits qui s’engouffrent au cœur de l’anse. Le petit port est bercé par le double va et vient des touristes en vacances à Marseille et des pêcheurs. Les terrasses sont pleines et mieux vaut venir le matin pour en apprécier la tranquillité (surtout en été). Au bout du quai, après être passé sous le viaduc, on se baigne (en faisant toutefois attention aux bateaux, cela reste un port). Pour se baigner à Marseille, mieux vaut aller de l’autre côté du viaduc sur les digues où se pressent nombres de jeunes et de moins jeunes. Si vous avez prévu de visiter Marseille, le Vallon des Auffes fait partie des incontournables et est donc une escale obligée lors d’une promenade sur la Corniche. Juste après se trouve Endoume avec ses anses de Malmousque, de la Fausse monnaie, qu’il faut absolument voir à Marseille.
Basilique Notre-Dame-de-la-Garde Elle se situe à cheval sur les quartiers du Roucas-Blanc et de Vauban, sur un piton calcaire de 149 m d'altitude surélevé de 13 m grâce aux murs et soubassements d'un ancien fort. Construite par l'architecte protestant Henri-Jacques Espérandieu dans le style romano-byzantin et consacrée le 5 juin 1864, elle remplace une chapelle du même nom édifiée en 1214 et reconstruite au xve siècle. Bâtie sur les bases d'un fort du xvie siècle construit par François Ier en 1536 pour résister au siège de Charles Quint, la basilique comporte deux parties : une église basse, ou crypte, creusée dans le roc et de style roman, et au-dessus une église haute de style romano-byzantin décorée de mosaïques. Au sommet d'un clocher carré de 41 mètres de haut surmonté lui-même d'une sorte de tour de 12,5 mètres qui lui sert de piédestal, se dresse une statue monumentale de 11,2 mètres de la Vierge à l'Enfant réalisée en cuivre doré à la feuille[2]. La pierre utilisée pour la construction, notamment celle de couleur verte en provenance des environs de Florence, s’étant révélée sensible à la corrosion atmosphérique, il a été nécessaire d’entreprendre de 2001 à 2008 une longue et minutieuse restauration qui a également porté sur la rénovation des mosaïques, endommagées à la Libération par les impacts de balles et noircies au fil du temps par la fumée des cierges. Véritable palladium de la ville de Marseille, Notre-Dame de la Garde est depuis le Moyen Âge considérée comme la gardienne des marins et des pêcheurs[3].
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Basilique Notre-Dame de la Garde
Rue Fort du Sanctuaire
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Basilique Notre-Dame-de-la-Garde Elle se situe à cheval sur les quartiers du Roucas-Blanc et de Vauban, sur un piton calcaire de 149 m d'altitude surélevé de 13 m grâce aux murs et soubassements d'un ancien fort. Construite par l'architecte protestant Henri-Jacques Espérandieu dans le style romano-byzantin et consacrée le 5 juin 1864, elle remplace une chapelle du même nom édifiée en 1214 et reconstruite au xve siècle. Bâtie sur les bases d'un fort du xvie siècle construit par François Ier en 1536 pour résister au siège de Charles Quint, la basilique comporte deux parties : une église basse, ou crypte, creusée dans le roc et de style roman, et au-dessus une église haute de style romano-byzantin décorée de mosaïques. Au sommet d'un clocher carré de 41 mètres de haut surmonté lui-même d'une sorte de tour de 12,5 mètres qui lui sert de piédestal, se dresse une statue monumentale de 11,2 mètres de la Vierge à l'Enfant réalisée en cuivre doré à la feuille[2]. La pierre utilisée pour la construction, notamment celle de couleur verte en provenance des environs de Florence, s’étant révélée sensible à la corrosion atmosphérique, il a été nécessaire d’entreprendre de 2001 à 2008 une longue et minutieuse restauration qui a également porté sur la rénovation des mosaïques, endommagées à la Libération par les impacts de balles et noircies au fil du temps par la fumée des cierges. Véritable palladium de la ville de Marseille, Notre-Dame de la Garde est depuis le Moyen Âge considérée comme la gardienne des marins et des pêcheurs[3].

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